Kobo Touch : ma nouvelle liseuse

Peu avant les vacances Noël une amie m’a fait découvrir sa liseuse électronique. Mon âme de lectrice doublée d’un brin de geek s’est aussitôt illuminée ! Alors que j’étais du genre à dire « Oh tu sais lire sur un écran très peu pour moi. Ca fatigue bien trop les yeux ! », je me suis laissée séduire par ce petit bijoux.

Il faut dire que l’animal a de bons arguments ! Résultat un mois après j’ai craqué et je m’en suis acheté un. Il en existe plusieurs selon les vendeurs (Kobo de Fnac, Kindle d’Amazon, …). Pour me décider j’ai choisi la sureté et j’ai pris le même que mon amie parce qu’en terme de performance, pour un modèle équivalent, les gros revendeurs se valent.

Série : Kobo Touch Format : Liseuse Ecran : Monochrome Ecran tactile : Oui Dimensions (l x p x h) : 114 x 10 x 165 en mm Poids net : 185 g Système d'exploitation : Kobo Port d'extension : Micro-USB Autonomie : Jusqu'à 1 mois (suivant utilisation, WiFi désactivé) Mémoire : 2 Go (dont 1,2 Go disponible pour le stockage, soit environ 1 400 livres numérisés) Mémoire maximale : Emplacement pour carte mémoire Micro-SD (32 Go max ; jusqu'à 38 000 titres) Connexion sans fil : WiFi 802.11b/g/n

Mon avis : Vraiment très pratique lorsqu’on bouge souvent. On peut mettre 1, 10 ou même 100 livres pour le même poids à porter. Il tient bien en main, ni trop grand ni trop petit. Et surtout, le point que me faisaient le plus peur, l’écran. Grâce à la technologie E-Ink Pearl on a réellement la sensation de lire un vrai livre. Aucune fatigue au niveau des yeux, à moins de lire pendant 20h d’affilée O.O enfin autant qu’avec livre quoi.

 

Au niveau du design il est sobre, j’aime beaucoup la face, en revanche l’arrière je ne suis pas fan du motif.  D'ailleurs en parlant du motif, il est disponible en Noir, Blanc, Argent, Bleu ou Violet. On pourrait penser qu’il a un léger manque de fluidité, mais il faut se rappeler que ce n’est pas une tablette, et excepté un chargement de 2 ou 3 secondes pour l’ouverture des livres les plus gros (>1000 pages), cela reste tout à fait raisonnable.

Lady Susuwatari